mis à jour / updated :
|
|
lepeps
Retour-back
Pour les liens
brisés utiliser WAYBACK
by FreeWebsiteTranslation.com
|
Rufino
Luro Cambaceres (Luro Cambaceri ???) À
cet homme que j'admire, ma mémoire permanente par
sa fille Ana Maria Luro
|
||||
1895 |
* Rufino Luro Cambaceres naît à Buenos Aires fils de Susana Cambaceres et Rufino Luro ref Rufino Luro Cambaceres born Buenos Aires Nace en Buenos Aires, Rufino Luro Cambaceres |
||||
1913 |
* Début dans l'aviation - Begins in Aviation - Se inicia en la aviación | ||||
1924 |
* Crée l'Aéro-club de Bahia Blance - creates the Aero Club Bahía Blanca - funda el Aero Club Bahía Blanca | ||||
1931 |
* 28 décembre. Rufino Luro Cambaceres atteint l'objectif qu'il s'était donné: le vol jusqu'à Ushuaia, la ville la plus du sud du territoire Argentin, le même jour. Rufino fait escale à San Antonio Oeste et Trelew où il fait les pleins pour continuer sur Río Gallegos, San Julián et Santa Cruz. source |
||||
1953 |
|
La
branche française & argentine de la famille
CAMBACERES (CAMBACÉRÈS) (wayback archives) |
Vachet
écrit: Encore une étape et nous arrivâmes à San Antonio Oeste où nous attendait Mermoz avec un "Laté 25", tandis qu'un autre avion, un biplan Curtiss Oriole , piloté par son propriétaire, M. Luro Cambacérès, avait atterri sur le même lac desséché que j'avais choisi comme lieu de ma rencontre avec Mermoz. J'allais, d'ailleurs, peu après, engager ce pilote, Luro Cambacérès, à l'Aeroposta Argentina dont il devint d'abord chef-pilote, puis, bien plus tard, directeur de l'exploitation. Il est même assez curieux de constater qu'à ce moment nous comptions parmi les dirigeants de la filiale de l'Aéropostale deux descendants directs des consuls français, compagnons de Bonaparte: Emmanuel de Sieyès qui était l'homme de confiance de M. Marcel Bouilloux-Lafont en Argentine et le représentant de son groupe dans ce pays, "patron" de l'Aéropostale et de l'Aeroposta, et Rufino Luro Cambacérès. |
|
Le premier passager, un jour avant le vol inaugural du jeudi 31
d'octobre de 1929 Dans les jours précédents le vol inaugural, Saint-Ex accompagné par le pilote argentin Rufino Luro Cambacérès, sur le monoplan Laté 25 No 645, fit une tournée d'inspection des escales de la ligne de Patagonie: Bahía Blanca, San Antonio Oeste, Trelew et Comodoro Rivadavia , à l'arrivée à Comodoro Rivadavia Saint-Ex décide de retourner seul comme pilote à Bahía Blanca avec comme passager, à la demande du directeur local de Aeroposta Alberto Augé, le jeune ingénieur des mines prospectant le pétrole, Armando Ulled, jusqu'à Trelew, 400km au nord pour rendre visite à sa fiancée, fille du consul anglais Puerto Madryn ! source |
|
* Le pilote
argentin Rufino Luro CAMBACERES de Aeroposta Argentina, la branche, de caractère
national, de la C.G. Aéropostale *Avec le Français Don Alberto Gourinski,Chef d'escale,
Cambaceres a grandement participé à la création de
la ligne Buenos Aires - Rio Gallejos, affectés tous les
deux à Comodoro Rivadavia * Lettre
d'Antoine de Saint-Exupéry à l'attention de Rufino Luro
Cambaceres * La
ligne de Patagonie, la plus australe du monde Voler
en Patagonie était en 1930 un acte d’héroïsme. |
|
<===
Traduction "Pour Alberto...
Mon grand camarade et bon peintre (? dans le sens créateur?) de la conquête patagonique, affectueusement".
signature Allalen (Peut-être Armando Ulled,
inspecteur des mines, pétrole à proximité)
ou quelque chose de ce genre (traduction Guillemette de Bure)
|
![]() |
* Document personnel Fred * La photo a-t-elle été prise à Buenos Aires ou à Comodoro Rivadavia ? * Gourinski est à gauche, Cambaceres à ses
cotés. Tout à droite Paul Vachet, souriant.
|
|
|
![]() Devant le laté 25 F-AISA à Rio Gellegos et quelques passagers pour Puerto Santa Cruz |
![]() Rufino Luro Cambaceres à gauche, Saint-Exupéry à droite, au centre Laurent Eynac |
![]() Rufino Luro Cambaceres à gauche, Saint-Exupéry à droite, au centre Laurent Eynac LARGE |
|
Quelques
précisions sur
Comodoro Rivadavia, relevés chez Adrián
Duplatt (Source ) «Je me souviens la première fois je les ai vus, j'ai eu peur ... avec ces grands sacs de cuir, ces casques, ces lunettes... ils ressemblaient à des monstres.» * Souvenirs de Camila Raquel Aloyz de Simonato (Doña Camila de Simonato), fille de Julio Aloyz y Camila Giubetich, un colon russe installé qui avait l'agence de la C.G. Aéropostale et des "lignes aériennes". Elle était au collège Maria de San Julian (colegio María Auxiliadora de San Julián), 450 km au sud de Comodoro Rivadvia! ! ! le froid... le gel... A 10 ans elle fait son premier voyage en avion, en décembre 1931, le pilote étant Palazzo... quelques pilotes pionniers dans cette région, écrit-elle, furent Giyane, Bernos, Saint Exupery, Casimiro Szlápelis, Luro Cambaceri, les frères (Tomás et Norberto), Thomas et Norbert Fernandez, Domingo Yrigoyen... Elle relate, les premières aventures dans le ciel patagonien, le légendaire duel, entre le pilote le vent... le destin de Saintex... les cartes ici, les provinces... La première aventure dans le ciel de Patagonie par Simonato Dona Camilla et Pionniers de l'aviation en Patagonie |
Lettre d'Antoine de
Saint-Exupéry à l'attention de Rufino Luro Cambaceres |
|
Après la liquidation de la Compagnie Générale
Aéropostale en 1931, Rufino Luro Cambaceres est nommé
directeur de l’Aéroposta Argentina reprise par le
gouvernement Argentin. Pour Antoine de Saint-Exupéry, la
fin de l’aventure Aéropostale en Argentine va demeurer une
source de désespoir immense durant plusieurs années. La
lettre suivante est la réponse de Saint-Exupéry aux
nombreuses lettres de son vieil ami Cambaceres. Elle
témoigne à la fois du deuil de l’auteur et de l’amitié
ineffaçable qui lie les deux hommes. « Mon cher Luro,
Je viens de recevoir votre lettre. Elle me touche comme tant d’autres auxquelles je n’ai pas répondu… Et je vous dois bien là-dessus quelques explications ainsi qu’à mes autres amis d’Argentine. Maintenant que tous ces souvenirs sont lointains et un peu apaisés et un peu moins amers, je puis en parler sans déchirement. Car voyez vous Luro mon départ d’Argentine et de l’Aeroposta Argentina m’a été bien plus dur et m’a bien plus peiné que vous ne sauriez l’imaginer. Il n’y a point de périodes de ma vie que je préfère à celle que j’ai vécue parmi vous. Il n’y a point de camaraderie qui m’ait paru plus saine que la votre. Quand l’Aéropostale d’à côté était perdue d’intrigues particulières, nous vivions dans la paix. Je ne sais pas si j’ai été pour quelque chose dans cette absence de petits drames humains et de discussions inutiles, ou si elle n’était due qu’à votre santé morale et à votre jeunesse de coeur, mais je sais bien que j’y tenais de toutes mes forces et que jamais vous ne m’avez déçu. Et puis il y a tous les souvenirs du
travail commun, les voyages dans le Sud, la construction
de la ligne, les vents de Comodoro, les fatigues, les
inquiétudes et les joies que j’ai partagées avec
vous. Enfin, voyez vous Luro, je m’etais à la
longue, un peu senti chez moi dans votre Argentine. Je
me sentais un peu votre frère et je pensais pouvoir
vivre longtemps au milieu de votre jeunesse si
généreuse.
Puis brusquement j’ai dû vous quitter et cela m’a beaucoup serré le coeur. Et je suis tombé, en rentrant, dans une Aéropostale tourmentée, noyée dans les intrigues d’une politique confuse, et injuste. J’ai bien senti que je ne retrouverais pas la paix que j’avais perdue. Et alors, voyez vous, aussi inexplicable que cela puisse vous paraître, j’ai essayé de ne plus trop me souvenir. Lorsque je recevais une lettre de vous, je revoyais avec tant de netteté vos grands espaces libres du sud que cela me faisait du mal. Lorsque je recevais une lettre d’Artigau, je me revoyais au petit jour avec lui sur le terrain de Pacheco, à l’heure du courrier d’Asunción et cela aussi me rendait les jours présents plus amers. Non seulement j’éprouvais une sorte d’impossibilité physique absolue à répondre, mais encore j’avais beaucoup de mal à décacheter ces enveloppes et à rentrer dans mes souvenirs. Si un homme aime sans espoir une femme très belle il doit, pour vivre en paix, déchirer ses photographies … c’est un peu ce que je faisais. Je vous raconte tout cela tout simplement maintenant que les années ont passé et que je n’éprouve plus, lorsque je songe à toutes ces choses, qu’une amicale mélancolie... J’oublie peu à peu les mauvaises heures du départ et ne me souviens plus que de celles qui étaient belles. Et je suis heureux de pouvoir enfin vous écrire et de vous remercier enfin de tout ce que l’Argentine m´a donné. Croyez mon cher Luro à une amitié qu’était et reste si profonde. Croyez que je serai heureux d’avoir parfois de vos nouvelles et que je répondrai toujours. Saint Exupéry.» 5, rue de Chanaleilles – Paris (Date: entre 1934-1936) (L’original de cette lettre se trouve au Musée Aéronautique de Morón par la volonté expresse de Luro Cambaceres.) © Argentina Excepción source retour dans le texte |
|
La ligne de
Patagonie, la plus australe du monde
Voler en Patagonie
était en 1930 un acte d’héroïsme. Les pilotes devaient
affronter le vent violent, le froid glacial et en hiver
des pistes couvertes de neige, avec des moyens de
communications et d’orientation rudimentaires. |
04.05.2012 | |
![]() |
Les premiers vols dans
cette région furent effectués par l’escadrille du
capitaine Antonio Parodi en 1922 et 1923. Ces
reconnaissances furent considérées comme une «mission
suicide».
Ces relèvements servirent à Paul Vachet, premier directeur de l'exploitation de la Compagnie Aeroposta Argentina, pour préparer l’ouverture d’une ligne régulière longeant la côte Atlantique argentine. *Le 01 Novembre 1930, le premier tronçon de la ligne de Patagonie comprise entre Villa Harding Green à Bahia Blanca jusqu’à Comodoro Rivadavia avec comme escales intermédiaire San Antonio Oeste et Trelew est inaugurée. Quatre Laté 25 effectuent le vol avec entre autres comme pilotes Jean Mermoz accompagné de Marcel Bouilloux-Lafont, Président de la Compagnie et Antoine de Saint-Exupéry nouveau directeur de l'exploitation de la Compagnie "Aeroposta Argentina". Ce dernier, voyage avec les premiers sacs de courriers. *Après l’ouverture du tronçon Bahia Blanca / Comodoro Rivadavia, Saint-Exupéry se lance dans les repérages de la seconde partie allant de Comodoro Rivadavia à Rio Gallegos en passant par Puerto Deseado, San Julian et Santa Cruz (Cf: ligne violette sur la carte). Le projet de rejoindre Punta Arenas au Chili ne vit pas le jour… Ni même la fantasque étape du Paso Ibañez. Bahia Blanca
Trelew
Bahia Blanca fut choisi comme la tête du premier tronçon de la ligne. Le courrier arrivait de Buenos Aires ou en repartait par voie ferrée. San Antonio Oeste San Antonio Oeste, situé dans le creux du golfe San Matias, était l’étape intermédiaire avant Trelew. Aujourd’hui son aéroport porte le nom d’Antoine de Saint-Exupéry. Les pilotes de la ligne descendaient à l’hôtel El Americano, devenu de nos jours restaurant et salon de thé. Trelew a été construite,
comme beaucoup de ville de Patagonie, avec des maisons
revêtues de tôles en zinc. A l’époque la majeure
partie des matériaux était importée directement
d’Europe par bateaux jusqu’à Puerto Madryn et ensuite
par train jusqu’à Trelew (59 km). Les autres matériaux
venaient de Buenos Aires, de la même manière.
Comodoro RivadaviaTrelew se situe peu avant l’embouchure du rio Chubut, bon repère pour les pilotes de l’Aeroposta. Aujourd’hui l’hôtel Touring Club, situé en plein cœur historique de la ville, garde encore des souvenirs du passage de Saint-Ex. Plusieurs photos et une plaque commémorative ornent les murs. La brasserie l’hôtel, ainsi que le Grand Salon nous plongent dans l’ambiance des années folles.Les habitants de Trelew se souviennent volontiers de cette page de leur histoire où les avions de la Ligne les sortirent de l’isolement. Ils se souviennent aussi de la première habitante à avoir fait un baptême de l’air : Elena Powell de Jones, alors âgée de 95 ans ! Comodoro Rivadavia était
la tête de pont de la seconde partie de la ligne Sud.
C’était l’étape où le courrier changeait de pilote et
d’avion. Armando Ulled fut le premier passager d’un
vol commercial à Comodoro Rivadavia. Il se souvient :
San Julián« Je voulais rendre visite à ma fiancée (novia) qui vivait à Puerto Madryn et la solution du bateau était peu rapide... Ce ne fut point précisément un vol tranquille. Je me suis retrouvé avec des nausées, accoudé sur un des sièges. A la moitié du vol, à travers une petite lucarne qui sépare la cabine du lieu où voyagent les passagers, Saint-Exupéry me passa un petit papier écrit. Puis d’autres et encore d’autres. Sur ces papiers, il me donnait des informations sur le vol et me demandait mes impressions. Plus tard, il me demanda un sandwich et me dit que nous arriverions dans deux heures.» Puerto Deseado Les instalations de l'Aeroposta Argentina à Puerto Deseado. Vivant à Puerto Deseado à l’époque, Valeriano Pérez écrit dans “Apuntes Historicos del Correo y telégrafo en Puerto Deseado” la petite histoire suivante: « Arriva un télégramme pour l’aviateur et je fus lui livrer à l’hôtel où il se logeait. J’y trouvais Saint-Exupéry, juste arrivé et accoudé sur l’immanquable bar […]. Je lui remis le pli, il me restitua le reçu signé, et comme je ne me retirais pas, peut-être pensa t-il que j’attendais un pourboire. Il me caressa alors la tête et me donna une monnaie. Je balbutiais un timide merci et sortis de l’hôtel. Je n’attendais pas un pourboire. J’étais resté médusé en contemplant de si prêt un authentique héros d’un roman de Jules Verne.» Camilia Raquel Aloys de
Simonato, fille de Julio Aloys, gérant de l’Aeroposta
de San Julián, raconte:
«La première fois que je les vis, je pris peur… Avec leurs grandes vestes en cuir et les lunettes ils ressemblaient à des monstres. Ils entraient toujours par la porte de la cuisine. Ils étaient alors amis de papa et de mon oncle… Je crois que c’était un refuge pour eux… Ils disaient que pour les accueils chaleureux, il n’y avait de gens comme les Patagons, en aucun endroit au monde… Ainsi comme eux nous ouvraient les cieux, nous-mêmes leurs ouvrions-nous nos demeures… Ces hommes amenèrent le monde à notre Patagonie, ils dégagèrent le ciel, ouvrirent les routes… nous avions à les choyer.» Santa Cruz La poste de Santa Cruz. De toutes les étapes de Patagonie, Santa Cruz était la plus isolée. Selon Cambacérès : «L'atterrissage sur le terrain de Santa Cruz totalement couvert de neige, présentait de nouvelles difficultés. Sans référence, avec les buissons occultés sous le tapis blanc, sans pouvoir préciser l’altitude, il se produisait un phénomène de miroir, semblable à celui de l’eau tranquille. Méconnaissant l’épaisseur de la couche de neige et sa solidité, on devait recourir à un atterrissage sur du sable qui évitait un possible tonneau ou fracture du train d’atterrissage. Sur sable, c’était un atterrissage spécial, mais coutumier des pilotes français en Afrique, qui en cas d'atterrissage d’urgence devaient amoindrir le violent choc contre le sol.» Rio Gallegos Le plan d’Aeroposta Argentina fut accompli : le 31 Mars 1931 Saint-Exupéry inaugura les vols jusqu’à Rio Gallegos. Il amena depuis Buenos Aires Marcel Bouilloux-Lafont et des journalistes. A l’atterrissage, ils furent accueillis par la population avec ferveur. Ce même jour, des baptêmes de l’air eurent lieu pour que les habitants vainquent leur peur des avions. |
Mise en garde du webmaster
Je ne suis pas historien ni écrivain. L'objectif de ces
pages n'est pas d'aborder de manière exhaustive l'histoire de
L'Aéropostale en Amérique du Sud, encore moins celle de
Aeroposta Argentina. Pour cela voir L'Aéropostale
LES SECRETS
DE L’AÉROPOSTALE , L'Amérique et l'Aéropostale ...
et adressez-vous à l'Argentine.
Toutefois, que ceux qui prennent des informations de cette
page aient la pudeur de noter les références... montage lepeps
dont le but, peut-être prétentieux, est d'être en quête de la
vérité à partir de données réelles. et non pas d'élucubrations
fantaisistes et romancées pour en tirer des récits erronés,
incomplets et subjectifs. Cette page est appelée à être
modifiée avec de nouvelles pièces du puzzle.
source http://www.patagoniadixit.com.ar/Prologo/1930-1942.htm
1928
* 16 Avril 1928 Mermoz effectue le premier vol de nuit
sur le tronçon Buenos Aires-Rio.
1930
* Le 12 mai 1930 Première liaison postale sur l'Atlantique Sud : Mermoz,
Dabry et Gimié à bord du Laté 28-3 baptisé "Comte de La Vaulx"
décollent de Saint Louis. Le 13 Mai, amerrissage à Natal après
avoir parcouru 3 173 km en 21 h et 10 mn de vol. De Toulouse à Santiago le courrier, 130 kilo, a
été acheminé en 5 jours.
* du 13 au 20 juin, Saint-Ex prend part aux recherches de Henri
Guillaumet et le ramène à Buenos Aires.
1931
Le 31 mars 1931 la C.G. AEROPOSTALE est mise en "liquidation
après un complot politico-financier". Les colons s'organisent
rapidement pour continuer les vols en Patagonie et
transforment Aeroposta Argentina en Aeroposta Nacional et
pendant 18 mois. Rufino Luro Cambaceres en devient le
patron.
* le 28 décembre 1931 premier vol commercial sur Ushuaia
par Rufino Luro Cambaceres