les-popotes-d-antan

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J'ai rencontré, l'autre soir, mon ami du Bourget, au moment ou il quittait l'aérogare. Dans le B.Q. qui nous ramenait à Paris, nous avons longuement causé.

— Croyez-moi, Wing, l'aviation va renaître, l'aviation renait. Partout le réveil s'annonce. Chaque semaine, les Ailes nous signalent le retour à la vie de quelque groupement que la guerre avait plongé dans une léthargie profonde; les meetings succèdent aux meetings; les avions de transport refusent souvent du monde. Votre journal est venu au bon moment pour grouper tous ceux que l'aviation passionne. Vraiment, sans vaine louange, c'est le lien qui s'imposait!
Tenez, vous devriez provoquer, sous une forme quelconque, des réunions purement amicales auxquelles pourraient venir tous les fervents de l'aéronautique. On causerait entre amis, on échangerait des idées, on parlerait du bon vieux temps.
— Mais, votre idée n'est pas nouvelle !
C'est dans un but analogue que se sont formées la plupart de nos sociétés. La S.F.N.A., l'A.F.A., l'Aéro-Club de France lui-même, tiennent des réunions où précisément...
— Je connais ces réunions, Wing! Elles sont fort intéressantes et je n'en manque pas une. Mais vous ne m'avez pas compris. Il ne s'agit pas d'organiser des séances techniques pour écouter une communication sur tel ou tel sujet. Ce que je souhaite est une réunion d'amis, sans conférence, sans discours, sans programme, une réunion où vous serez heureux de rencontrer des copains, des fidèles de l'aviation, des gens qui, en somme, parlent la même langue que vous et qui, comme vous, s'intéressent à une aile nouvelle, au rendement d'une hélice, à l'essai d'un moteur.

— Votre idée commence à me plaire...
— Dites-moi, Wing, pourquoi les amis des Ailes ne se réuniraient-ils pas, un soir, dans un restaurant quelconque. Tous pourraient venir, en toute simplicité, partager ce repas. On chercherait un restaurant convenable mais modeste et bon marché. On dînerait là, entre bons amis; on ne boirait pas de champagne; on ne ferait pas de discours, on n'aurait même pas besoin de faire toilette. On irait à la popote comme on va chez des camarades, tel que l'on est. Tous ceux qui viendraient seraient les bienvenus. Réalisez mon idée, Wing, et vous ferez bigrement plaisir à un tas de gens. Réalisez, sans plus attendre; réalisez ce mois-ci !
— Mais, je n'ai pas le temps! Il me faut écrire un article, préparer les lecteurs à ce projet; le murir.
— C'est inutile. Dîtes simplement ceci:
Le vendredi 22 courant, des pilotes, des mécaniciens, d'autres qui n'ont pour titre que celui d'aimer l'aviation, dîneront à 7 heures 30, à la Brasserie Victor, 30, Boulevard des Batignolles (17e). Tous ceux qui voudront partager ce repas seront bien accueillis. Le prix du dîner est de 7 fr. 50 (boisson non comprise). On causera.... par WING

le 22 juillet 1921source

C'est donc vendredi 23 septembre (1921) qu'aura lieu la troisième Popote des Ailes. Tous les amis de l'aviation sont invités à participer à ce dîner amical qui n'a d'autre but que de les réunir, pendant deux ou trois heures. Ce dîner, rappelons-le encore une fois, se tient à la Brasserie Victor, 30, Boulevard des Batignolles à 7 h. 30 ; son prix est de 7 fr. 50, boisson non comprise. Ceux qui auront la bonne idée de venir peuvent amener leurs amis, leur famille, tous et toutes seront les bienvenus.

Popote des Ailes

La prochaine Popote des Ailes aura lieu mardi 10 janvier, à 7 h. 30 du soir, à la Brasserie Victor, 30, boulevard des Batignolles. Rappelons une fois de plus pour nos nouveaux lecteurs qu'il s'agit d'un dîner tout amical destiné à réunir les amis de l'aviation. Le prix de ce dîner est de 7 frs. 50.
Sur l'initiative de M. Bourcariat, ceux qui firent du vol plané avant 1908, sont tout particulièrement invités à prendre part à cette popote. Ces aviateurs de la toute première heure se rencontreront pour parler du bon vieux temps.

Popote des Vieilles Tiges

La Popote des Vieilles Tiges aura lieu le samedi 7 janvier, à 7 h. 30, aux Tuileries, près de la Salle du Jeu de Paume. Les Vieilles Tiges désirant participer à ce dîner sont invitées à envoyer leur adhésion au secrétaire général, P. Schneider, 21, rue Demours, avant le 3 janvier.

La troisième Popote des Ailes s'est donc tenue vendredi soir, comme à l'habitude, à la Brasserie Victor. Les vacances touchent à leur fin ; aussi les convives étaient-ils déjà plus nombreux qu'au précédent dîner.
Nous avons noté, au hasard du crayon:
MM. R.-H. Morin, le Lieutenant Gros et Madame, le Capitaine Hirschauer, Henmerdinger, Max Laborie, George Hamel, Charles Dollfus, Robert Collins, Roger Lallier, Hobbe, Lucien Constantin, Riffard, André Carlier, Paul Richard; Pierre Houard, Maurice Victor, Georges Merville, André Frachet, Georges Houard, Jean Trofin, Henri Le Boloch, Eric Nessler, Peyrat, Jacques de Beaumont, etc.
On a causé d'une infinité de choses intéressantes ; une discussion animée a eu lieu au sujet des épreuves d'aviation, en général, et des concours de vol à yoile en particulier.
Notre ami Collins et M. Charles Dollfus nous ont conté en détails les péripéties de la dernière Coupe Gordon-Bennett.
Avant de se séparer, les amis des Ailes ont chargé M. Jacques de Beaumont d'envoyer une gerbe, eu leur nom, aux obsèques du pauvre Bernard de Roinanet.
La prochaine popote aura lieu le vendredi 7 octobre.

20 mars 1924, La popote a changé de restaurant

A l'avenir, nous tiendrons notre popote des Ailes au Restaurant de la Fontaine-Gaillon dont nous avons été pleinement satisfaits jeudi dernier. Parmi les convives de la popote, signalons MM. Liégeois, Charles Marais, Mme Marais, MM. Collangettes, André Frachet, Eric Nessler, Henri Le Boloch, Jean Trofin, M. Garnier, Ostrowsky, M. Joliot, Henri Rodilhat, Bourdariat, Maurice Victor, Georges Houard, etc.
La prochaine popote aura lieu le 20 mars au même endroit.

Restaurant de la Fontaine-Gaillon
Gerard Depardieu's restaurant

En dépit de l'été, la Popote des Ailes continue. La prochaine aura lieu mardi prochain 11 juillet, à 7 h. 30. à la Brasserie Victor, 30, boulevard des Batignolles. Comme à l'habitude, le prix du diner sera de 7 fr. 50.
Il n'est peut-être pas inutile de rappeler à nos premiers lecteurs et d'apprendre à ceux qui l'ignorent encore quelle idée a présidé à l'institution de ce dîner mensuel. Il ne s'agit nullement d'un banquet. Il s'agit tout simplement de réunir, pour deux ou trois heures, dans le seul but de causer, d'échanger des idées, de se mieux connaître, ceux qui s'intéressent à l'aviation. Aucun titre n'est nécessaire pour participer à la Popote des Ailes et tous ceux qui veulent partager notre dîner sont toujours les bienvenus.
Des lecteurs nous ont demandé souvent :
- Où pourrions nous rencontrer des gens pour lesquels l'aviation est le plus cher des sujets de conversation?
Nous avons répondu :
- Venez dîner un soir à notre Popote, sans façon. Là on ne parle guère qu'aviation!
L'idée a plu puisqu'elle se développe et qu'un peu partout, à Montpellier, à Toulouse, à Clermond-Ferrand, des popotes semblables s'organisent.
Encore une fois la popote est ouverte à tous. Les dames sont admises et les amis de nos amis sont assurés d'y être bien accueillis.

LE DEJEUNER MARCEL DORET
OFFERT PAR DORET A SES CAMARADES.

IL EUT LIEU VENDREDI A CHAVILLE

Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne	Le lancement de la Popote des Ailes, le 07 juillet 1921 La pemière Popote des Ailes, le 22 juillet 1921 La Popote des Ailes contre la Popote des Vieilles Tiges La troisième Popote des Ailes La XIIIe Popote des Ailes La popote a changé de restaurant, des Batignoles à la place Gaillon, puis Chaville 1921 boulevard des Batignolles (brasserie Victor) à la Place Gaillon 1924 (Restaurant de La Fontaine-Gallion), puis Chaville

1921/07/07	Le lancement de la Popote des Ailes source Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne
	J'ai rencontré, l'autre soir, mon ami du Bourget, au moment ou il quittait l'aérogare. Dans le B.Q. qui nous ramenait à Paris, nous avons longuement causé. — Croyez-moi, Wing, l'aviation va renaître, l'aviation renait. Partout le réveil s'annonce. Chaque semaine, les Ailes nous signalent le retour à la vie de quelque groupement que la guerre avait plongé dans une léthargie profonde; les meetings succèdent aux meetings; les avions de transport refusent souvent du monde. Votre journal est venu au bon moment pour grouper tous ceux que l'aviation passionne. Vraiment, sans vaine louange, c'est le lien qui s'imposait! Tenez, vous devriez provoquer, sous une forme quelconque, des réunions purement amicales auxquelles pourraient venir tous les fervents de l'aéronautique. On causerait entre amis, on échangerait des idées, on parlerait du bon vieux temps. — Mais, votre idée n'est pas nouvelle ! C'est dans un but analogue que se sont formées la plupart de nos sociétés. La S.F.N.A., l'A.F.A., l'Aéro-Club de France lui-même, tiennent des réunions où précisément... — Je connais ces réunions, Wing! Elles sont fort intéressantes et je n'en manque pas une. Mais vous ne m'avez pas compris. Il ne s'agit pas d'organiser des séances techniques pour écouter une communication sur tel ou tel sujet. Ce que je souhaite est une réunion d'amis, sans conférence, sans discours, sans programme, une réunion où vous serez heureux de rencontrer des copains, des fidèles de l'aviation, des gens qui, en somme, parlent la même langue que vous et qui, comme vous, s'intéressent à une aile nouvelle, au rendement d'une hélice, à l'essai d'un moteur. — Votre idée commence à me plaire... — Dites-moi, Wing, pourquoi les amis des Ailes ne se réuniraient-ils pas, un soir, dans un restaurant quelconque. Tous pourraient venir, en toute simplicité, partager ce repas. On chercherait un restaurant convenable mais modeste et bon marché. On dînerait là, entre bons amis; on ne boirait pas de champagne; on ne ferait pas de discours, on n'aurait même pas besoin de faire toilette. On irait à la popote comme on va chez des camarades, tel que l'on est. Tous ceux qui viendraient seraient les bienvenus. Réalisez mon idée, Wing, et vous ferez bigrement plaisir à un tas de gens. Réalisez, sans plus attendre; réalisez ce mois-ci ! — Mais, je n'ai pas le temps! Il me faut écrire un article, préparer les lecteurs à ce projet; le murir. — C'est inutile. Dîtes simplement ceci: Le vendredi 22 courant, des pilotes, des mécaniciens, d'autres qui n'ont pour titre que celui d'aimer l'aviation, dîneront à 7 heures 30, à la Brasserie Victor, 30, Boulevard des Batignolles (17e). Tous ceux qui voudront partager ce repas seront bien accueillis. Le prix du dîner est de 7 fr. 50 (boisson non comprise). On causera.... par WING

	La pemière Popote des Ailes, le 22 juillet 1921source
	C'est vendredi prochain 22 juillet qu'aura lieu, à la Brasserie Victor, 30, boulevard des Batignolles, à 7 heures 30, le premier diner de la Popote des Ailes. Rappelons ce que disait Wing, à ce propos, jeudi dernier: -Tous les fervents de l'aviation, tous les amis des «Ailes» se réuniront ce soir-là, en toute simplicité, pour causer, se mieux connaître, renouer d'anciens liens que la guerre ou les circonstances ont pu rompre. L'idée de cette popote a reçu un chaleureux accueil et nombreux sont ceux qui se proposent d'y venir. Tout caractère officiel étant exclu de cette réunion, nos amis pourront y amener leurs propres amis, ou leur famille. Les amis de nos amis sont nos amis ! Le prix du repas est de 7 fr. 50 (boisson non comprise). Ni smoking ! Ni Champagne

	La Popote des Ailes C'est donc vendredi 23 septembre (1921) qu'aura lieu la troisième Popote des Ailes. Tous les amis de l'aviation sont invités à participer à ce dîner amical qui n'a d'autre but que de les réunir, pendant deux ou trois heures. Ce dîner, rappelons-le encore une fois, se tient à la Brasserie Victor, 30, Boulevard des Batignolles à 7 h. 30 ; son prix est de 7 fr. 50, boisson non comprise. Ceux qui auront la bonne idée de venir peuvent amener leurs amis, leur famille, tous et toutes seront les bienvenus.

La guerre des POPOTES	*29 décembre 1921* source
	Popote des Ailes La prochaine Popote des Ailes aura lieu mardi 10 janvier, à 7 h. 30 du soir, à la Brasserie Victor, 30, boulevard des Batignolles. Rappelons une fois de plus pour nos nouveaux lecteurs qu'il s'agit d'un dîner tout amical destiné à réunir les amis de l'aviation. Le prix de ce dîner est de 7 frs. 50. Sur l'initiative de M. Bourcariat, ceux qui firent du vol plané avant 1908, sont tout particulièrement invités à prendre part à cette popote. Ces aviateurs de la toute première heure se rencontreront pour parler du bon vieux temps.
	Popote des Vieilles Tiges La Popote des Vieilles Tiges aura lieu le samedi 7 janvier, à 7 h. 30, aux Tuileries, près de la Salle du Jeu de Paume. Les Vieilles Tiges désirant participer à ce dîner sont invitées à envoyer leur adhésion au secrétaire général, P. Schneider, 21, rue Demours, avant le 3 janvier.
Au hasard 1921/09/22

	La Popote des Ailes La troisième Popote des Ailes s'est donc tenue vendredi soir, comme à l'habitude, à la Brasserie Victor. Les vacances touchent à leur fin ; aussi les convives étaient-ils déjà plus nombreux qu'au précédent dîner. Nous avons noté, au hasard du crayon: MM. R.-H. Morin, le Lieutenant Gros et Madame, le Capitaine Hirschauer, Henmerdinger, Max Laborie, George Hamel, Charles Dollfus, Robert Collins, Roger Lallier, Hobbe, Lucien Constantin, Riffard, André Carlier, Paul Richard; Pierre Houard, Maurice Victor, Georges Merville, André Frachet, Georges Houard, Jean Trofin, Henri Le Boloch, Eric Nessler, Peyrat, Jacques de Beaumont, etc. On a causé d'une infinité de choses intéressantes ; une discussion animée a eu lieu au sujet des épreuves d'aviation, en général, et des concours de vol à yoile en particulier. Notre ami Collins et M. Charles Dollfus nous ont conté en détails les péripéties de la dernière Coupe Gordon-Bennett. Avant de se séparer, les amis des Ailes ont chargé M. Jacques de Beaumont d'envoyer une gerbe, eu leur nom, aux obsèques du pauvre Bernard de Roinanet. La prochaine popote aura lieu le vendredi 7 octobre.


	20 mars 1924, La popote a changé de restaurant 1921 boulevard des Batignolles (brasserie Victor) à la Place Gaillon 1924 (Restaurant de La Fontaine-Gallion), puis Chaville
La Taverne de Paris, Place de la République	15 novembre 1923 7 décembre 1923

A l'avenir, nous tiendrons notre popote des Ailes au Restaurant de la Fontaine-Gaillon dont nous avons été pleinement satisfaits jeudi dernier. Parmi les convives de la popote, signalons MM. Liégeois, Charles Marais, Mme Marais, MM. Collangettes, André Frachet, Eric Nessler, Henri Le Boloch, Jean Trofin, M. Garnier, Ostrowsky, M. Joliot, Henri Rodilhat, Bourdariat, Maurice Victor, Georges Houard, etc. La prochaine popote aura lieu le 20 mars au même endroit. Restaurant de la Fontaine-Gaillon Gerard Depardieu's restaurant	21 février 1924 20 mars 1924 18 avril 1924

	6 janvier 1925
	La XIIIe Popote En dépit de l'été, la Popote des Ailes continue. La prochaine aura lieu mardi prochain 11 juillet, à 7 h. 30. à la Brasserie Victor, 30, boulevard des Batignolles. Comme à l'habitude, le prix du diner sera de 7 fr. 50. Il n'est peut-être pas inutile de rappeler à nos premiers lecteurs et d'apprendre à ceux qui l'ignorent encore quelle idée a présidé à l'institution de ce dîner mensuel. Il ne s'agit nullement d'un banquet. Il s'agit tout simplement de réunir, pour deux ou trois heures, dans le seul but de causer, d'échanger des idées, de se mieux connaître, ceux qui s'intéressent à l'aviation. Aucun titre n'est nécessaire pour participer à la Popote des Ailes et tous ceux qui veulent partager notre dîner sont toujours les bienvenus. Des lecteurs nous ont demandé souvent : - Où pourrions nous rencontrer des gens pour lesquels l'aviation est le plus cher des sujets de conversation? Nous avons répondu : - Venez dîner un soir à notre Popote, sans façon. Là on ne parle guère qu'aviation! L'idée a plu puisqu'elle se développe et qu'un peu partout, à Montpellier, à Toulouse, à Clermond-Ferrand, des popotes semblables s'organisent. Encore une fois la popote est ouverte à tous. Les dames sont admises et les amis de nos amis sont assurés d'y être bien accueillis.
	♦ Le 27 octobre (1932), les pilotes de Villacoublay ont fète et offert un déjeuner à la «popote des Ailes», à Chaville, à leurs camarades Maryse Hilsz pour son record de hauteur, à Marcel Haegelen pour sa victoire dans la Coupe Michelin, à Freton, d'Estailleur-Chanteraine et Mistrot pour leur périple africain, au lieutenant-colonel Canonne et au commandant de Messiessy pour les distinctions dont ils ont été récemment I'objet.
LE DEJEUNER MARCEL DORET OFFERT PAR DORET A SES CAMARADES. IL EUT LIEU VENDREDI A CHAVILLE Vendredi dernier 11 mars, Marcel Doret avait convié quelques-uns de ses camarades pilotes à déjeuner à Chaville, à la «Popote des Ailes». Ce fut, comme l'on s'en doute, une réunion agréable, pleine d'entrain et de cordialité. Parmi les invités de Marcel Doret qui, aux côtés de Mme Doret, présidait le déjeuner, on a pu noter la présence de Maryse Bastié, Marcel Haegelen, commandant Canone, Sadi-Lecointe, commandant Roques, Desjoberts, Fickinger, Lotti, Assollant, Goulette, Salel, Rurtin, Landry, Thuau, Quatremare, Massotte, Charles Descamps, capitaine de Fonds-Lamothe, Bonnet-Labranche, Massot, Baptiste, Lepreux, etc. On remarquait également M. Joseph Bouessé, député de la Mayenne; M. Vautrin, gouverneur de la province de Diego-Suarez (Madagascar) ; Mlle Ramondou, et quelques journalistes amis. En quelques mots charmants, Marcel Doret a exprimé toute sa joie de voir tant de ses camarades réunis autour de lui.