Aux justiciers ou aux vendeurs de camelote, qui souillent encore aujourd'hui le nom de l'Aéropostale et qui n'ont toujours pas compris. :
"Les pilotes, les mécaniciens
et les radios m'ont fait part de leur indignation, car il n'y a pas un homme
de bon sens parmi nous qui ne sait ce que réaliser la ligne vous a coûté.
En traînant votre fils dans la boue, et en souillant le nom de l'Aéropostale,
ils tentent de démolir la réussite en s'attaquant à l'homme". suite...
Lettre lue au tribunal le 29 mars 1933, écrite par Jean Mermoz alors au Brésil.
(OUI, Mermoz de l'Aéropostale)
Jean-Gérard FLEURY (conteur
et témoin):
De temps en temps, Mermoz faisait une visite
à celui qui, docilement assis au poste de pilotage, avait été son élève
appliqué en Amérique du Sud: Marcel Bouilloux-Lafont.
Un jour Mermoz m'invita à l'accompagner chez lui.
- Tu verras quel cran, quelle fermeté d'âme il a gardés dans ses
infortunes, me dit-il. suite...
Rapporter des détails, bassement imaginés sur la vie des Bouilloux-Lafont, ne fait que rendre vulgaire la "dernière Scène, du dernier Acte" de la disparition tragique de l'Aéropostale. Ceux qui lient le procès du fils de Marcel Bouilloux-Lafont (1933) avec l'Aéropostale (fin en 1931), soit ils n'ont rien compris, soit ils veulent dénigrer la famille Bouilloux-Lafont.
Une vérité mal comprise est aussi néfaste qu'une vérité habillée en mensonge
Dernière mise à jour/ latest updating: 02 févr. 2009